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Pourquoi externaliser vos gestions de projet est-elle une décision stratégique ?

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Introduction

La gestion de projets est aujourd’hui au cœur de la compétitivité des entreprises, qu’elles soient des start-up en phase de lancement ou des PME consolidées sur leur marché.

Diriger une entreprise implique souvent de piloter simultanément plusieurs projets (lancement d’un nouveau produit, migration d’un système informatique, campagne marketing, etc.) avec des ressources limitées.

Or, chacun de ces projets requiert une expertise et un suivi méthodique : cadrage, planification, suivi d’avancement, gestion de budget et risques, etc.

Dans un contexte économique ultra-concurrentiel, la question se pose naturellement : faut-il internaliser la gestion de projets en recrutant un chef de projet à temps plein, ou externaliser cette fonction en faisant appel à des experts externes ou freelances ?

 Les deux approches ont des avantages et des inconvénients, mais on constate une tendance croissante à l’externalisation, notamment grâce à la flexibilité et la rapidité de mise en place qu’elle offre.

Cet article vous propose un tour d’horizon complet pour comprendre les enjeux, identifier les freins psychologiques ou organisationnels, et découvrir pourquoi externaliser la gestion de projets peut devenir un levier stratégique pour votre entreprise.

 Nous nous inspirerons notamment des solutions proposées par des agences de mise en relation comme Protexys, qui offrent un vivier de freelances spécialisés en gestion de projets, capables de prendre en main des missions cruciales tout en libérant vos ressources internes.

Au fil des chapitres, nous aborderons :

  • Les raisons pour lesquelles la gestion de projets est critique pour la croissance,
  • Les atouts et limites de l’internalisation,
  • Les avantages d’une externalisation bien pensée,
  • L’exemple concret d’une entreprise qui a décidé de déléguer son pilotage de projets,
  • Les bonnes pratiques pour réussir son externalisation (choix du partenaire, certifications, etc.),
  • Une FAQ finale pour répondre aux questions les plus récurrentes.

Préparez-vous à découvrir comment transformer l’externalisation de la gestion de projets en un atout majeur pour optimiser vos ressources, gagner du temps, et renforcer votre compétitivité.

 

1. Pourquoi la gestion de projets est-elle si cruciale ?

Au sein d’une entreprise, la gestion de projets n’est pas un simple outil opérationnel : elle constitue un véritable moteur de croissance.

 Pourquoi ?

Parce qu’elle touche aussi bien à l’innovation, à la mise en place de nouvelles offres, à la transformation numérique, qu’au déploiement de solutions d’amélioration continue.

Chaque projet réussi porte en lui un potentiel de création de valeur, de différenciation sur le marché et de satisfaction client.

  1. Pilotage de l’innovation : Dans un environnement où les marchés évoluent vite, l’entreprise a besoin de concevoir rapidement de nouveaux produits, d’adopter de nouveaux process, ou d’explorer des opportunités stratégiques (ex. partenariats, acquisitions). Sans une gestion de projets solide, ces idées peuvent stagner en phase de conception et ne jamais voir le jour.

  2. Respect des délais et du budget : Combien de projets sont abandonnés ou subissent de graves retards faute de suivi rigoureux ? Un pilotage professionnel assure la planification des ressources, l’identification des risques, la maîtrise des coûts et le reporting régulier pour éviter les dérives.

  3. Coordination des parties prenantes : Un projet implique souvent différents services : R&D, marketing, finances, juridique, etc. Le chef de projet (PM) fait office de chef d’orchestre : il facilite la communication, gère les conflits d’intérêt, répartit les tâches et s’assure que chacun respecte ses engagements.

  4. Renforcement de la culture d’entreprise : Une gestion de projets efficace implique une collaboration transversale, ce qui encourage l’esprit d’équipe et l’alignement sur des objectifs communs. Elle inculque aussi une culture de la performance et du résultat, bénéfique à long terme.

Par conséquent, un défaut de management de projets peut freiner la croissance, multiplier les retards, consommer inutilement des ressources et engendrer une démotivation des équipes.

 À l’inverse, savoir mener des projets à terme confère un avantage concurrentiel. La question n’est donc pas de savoir si l’on a besoin d’un chef de projet compétent, mais comment le trouver et le mobiliser au bon moment.

2. Freins et idées reçues sur l’externalisation de la gestion de projets

Malgré l’évidence de la nécessité d’un pilotage de projets, certaines entreprises hésitent à externaliser cette fonction.

Elles redoutent de perdre le contrôle, de voir un intervenant externe s’emparer d’informations stratégiques ou d’imposer une méthode rigide. Voici quelques idées reçues qu’il est bon de déconstruire :

  1. “Je vais perdre la main sur mes équipes.”

    • Au contraire, un chef de projet externe est souvent un facilitateur : il assure la coordination, le respect des délais et la transparence de l’avancement, tout en laissant la direction prendre les grandes décisions. L’entreprise garde donc le gouvernail, mais se dote d’un copilote expert.
  2. “Un consultant externe ne connaîtra pas assez mon secteur.”

    • La gestion de projets est une discipline transverse qui s’applique à toutes sortes de contextes. Un consultant chevronné, même s’il n’est pas spécialisé dans votre métier, peut rapidement assimiler les spécificités de votre secteur. À l’inverse, un excellent expert métier peut manquer de méthodes de pilotage.
  3. “C’est trop cher.”

    • On compare souvent le coût d’un freelance chef de projet à un salaire mensuel d’un manager interne. Pourtant, l’externalisation offre un modèle modulable : on paie seulement le temps ou la mission réelle, sans charges sociales ni risque de sous-occupation. À moyen terme, cela peut s’avérer plus rentable.
  4. “Mon projet est trop complexe/confidentiel.”

    • Tout projet peut être découpé en volets, certains plus sensibles que d’autres. Vous pouvez confier à l’externe le pilotage opérationnel et conserver en interne les décisions hautement stratégiques. Des clauses de confidentialité (NDA) protègent aussi vos informations.
  5. “Je fais déjà tout moi-même.”

    • Le dirigeant ou le manager finit par s’épuiser en gérant à la fois la vision stratégique et la conduite opérationnelle. Déléguer le rôle de PM peut libérer un temps précieux pour se consacrer à la croissance et à l’innovation.

Prendre conscience de ces freins et de leur relativité permet d’aborder plus sereinement l’externalisation, en comprenant qu’un intervenant extérieur peut renforcer l’efficacité globale, plutôt que de vous faire perdre le contrôle.

3.  Internaliser ou externaliser la conduite de projet ?

Le dilemme entre l’internalisation et l’externalisation de la gestion de projets se pose à tout dirigeant soucieux de rationaliser ses ressources. Pour effectuer un choix éclairé, il est primordial de se poser deux questions fondamentales :

  1. Ai-je les compétences disponibles en interne ?

    • Si vous disposez déjà dans votre équipe d’un chef de projet aguerri, formé et capable de piloter plusieurs chantiers, l’internalisation peut être envisageable. Toutefois, il faut s’assurer que cette personne a la disponibilité réelle pour prendre en charge ce nouveau projet.
    • À l’inverse, si votre personnel est déjà saturé ou si personne ne maîtrise la méthodologie de project management (Agile, Prince2, PMI, etc.), s’obstiner à le faire en interne risque de conduire à l’échec ou aux retards.
  2. Suis-je prêt à intégrer ces compétences au cœur de mon organisation ?

    • Embaucher un chef de projet à plein temps suppose un investissement (salaire, charges, formation, bureau, etc.) et une vision à long terme. Si votre besoin est ponctuel ou cyclique, ce n’est peut-être pas rentable.
    • De plus, le recrutement prend du temps (annonce, entretiens, tests), ce qui peut se révéler en inadéquation avec l’urgence d’un projet déjà lancé.

Ainsi, l’internalisation convient mieux si votre volume de projets est élevé et stable sur le long terme, et si vous souhaitez un profil complètement immergé dans la culture de l’entreprise.

 En revanche, l’externalisation apparaît idéale pour des missions ciblées ou un pic d’activité, surtout lorsque les compétences nécessaires dépassent le bagage interne.

En choisissant un freelance ou une agence, vous gagnez en souplesse : vous ne vous engagez pas dans un contrat permanent et vous pouvez ajuster la collaboration en fonction de la progression du projet.

 Ce modèle autorise également l’accès à des consultants experts, parfois difficiles à recruter à temps plein, et apporte un regard neuf, loin des biais internes.

4. Pourquoi externaliser la gestion de projet chez Protexys : l’exemple d’une solution sur mesure

Parmi les agences de mise en relation qui proposent des freelances spécialisés, Protexys se démarque par une approche souple et qualitative.

En effet, un dirigeant qui souhaite externaliser la conduite d’un projet n’a pas nécessairement le temps de parcourir des plateformes de freelancing généralistes ou d’organiser lui-même des entrevues multiples.

Protexys agit alors comme un intermédiaire fiable, sélectionnant dans son réseau des talents dont le profil correspond précisément aux exigences du projet :

  1. Diagnostic initial : Protexys étudie la nature du projet, la durée envisagée, le niveau de complexité (technique, organisationnelle) et les objectifs de résultats. L’objectif est de cerner le périmètre du besoin.
  2. Matching des compétences : L’agence maintient un vivier de chefs de projet freelances rodés à différentes méthodologies (Agile, Prince2, PMI, Kanban, etc.). Elle repère celui (ou ceux) dont l’expérience correspond au secteur et aux outils utilisés par l’entreprise cliente.
  3. Mise à disposition rapide : L’un des points forts de la solution Protexys est la réactivité. Qu’il s’agisse d’un projet en retard ou d’un nouveau chantier qui doit démarrer immédiatement, un consultant peut être mobilisé dans des délais courts, sans toutes les lourdeurs d’un recrutement interne.
  4. Suivi et pilotage : Protexys, au-delà de l’intermédiation, propose un suivi pour s’assurer que la collaboration se passe bien. L’agence reste disponible pour ajuster la mission, fournir des ressources supplémentaires ou remplacer le freelance en cas d’indisponibilité.

Un exemple concret pourrait être une PME industrielle qui veut déployer un nouveau logiciel de gestion de production.

En l’absence de chef de projet interne, la direction se rapproche de Protexys. Celle-ci propose un freelance certifié PMI, ayant déjà mené plusieurs déploiements similaires.

 L’entreprise lance alors son projet avec un atout majeur : un pilotage rigoureux, un cadre de reporting clair, et une disponibilité adaptée, sans formalités interminables ni salaires permanents à supporter.

 5. Gains de temps et de coût : la force de la flexibilité

Lorsqu’on évalue le coût d’un chef de projet en interne vs. l’externalisation via un freelance, on doit tenir compte de plusieurs facteurs.

 Bien sûr, un TJM (taux journalier moyen) d’un consultant peut paraître élevé à première vue, mais cette comparaison est souvent trompeuse. Le modèle flexible de l’externalisation offre :

  1. Absence de charges sociales : Recruter un chef de projet à temps plein suppose un salaire, des cotisations, des frais d’équipements, des congés payés… Avec un freelance, vous ne payez que ses honoraires.
  2. Facturation à la mission : Vous vous engagez pour un nombre défini de jours ou pour un périmètre précis. Si le besoin diminue, vous réduisez la collaboration ; s’il augmente, vous pouvez prolonger le contrat. Pas de contraintes de fin de CDD, ni de process de licenciement.
  3. Zéro temps de recrutement : Inutile de poster des annonces, de trier des CV ou de mobiliser votre DRH pour des entretiens. L’agence de mise en relation (ex. Protexys) vous présente des candidats déjà validés. Ce gain de temps se traduit en économies (vous consacrez ce temps à des tâches plus stratégiques).
  4. Rapidité de mise en œuvre : Si votre projet est urgent, un chef de projet interne prendrait 2 à 3 mois à être recruté (ou muté en interne). L’externalisation permet de démarrer en quelques jours, ce qui évite des retards potentiellement coûteux.

Quant à la maîtrise des coûts, elle est facilitée : un budget par mission est défini, avec un livrable ou un temps d’intervention convenu à l’avance.

 Ce cadre budgétaire limite les mauvaises surprises et optimise la trésorerie.

 Enfin, le fait de n’acheter que l’expertise nécessaire, au moment opportun, évite de financer un poste permanent quand l’activité en gestion de projets n’est pas constante.

6. L’importance des certifications et de l’expérience terrain

Choisir un consultant en gestion de projets ne se résume pas à s’assurer qu’il sait manier un Gantt.

Les méthodologies sont variées, et l’adaptabilité est cruciale pour intégrer la culture et les process de votre entreprise. Deux aspects sont souvent sous-estimés mais pourtant déterminants :

  1. Certifications en gestion de projets

    • Des référentiels comme PMI (Project Management Institute), Prince2, Agile (Scrum Master, Product Owner), PMP, etc., garantissent un socle de connaissances solides.
    • Certes, il ne faut pas confondre un badge de certification avec l’excellence absolue ; néanmoins, ces accréditations prouvent que la personne maîtrise un vocabulaire, des concepts et des outils reconnus mondialement. Elles demandent d’ailleurs un certain nombre d’heures d’expérience projet pour être obtenues.
    • Un chef de projet certifié sait basculer d’une approche Waterfall à une approche Agile selon les besoins, et dispose d’une culture “projet” plus large.
  2. Expérience terrain

    • Une méthodologie rigide, purement académique, ne suffit pas. Le consultant doit avoir vécu des situations complexes : gestion de conflits entre services, réévaluation de budget en cours de route, pilotage multi-sites, etc.
    • L’expérience terrain signifie aussi gérer les aspects humains : réticences au changement, inertie administrative, jeux politiques internes. Un freelances “confirmé” saura naviguer dans ces difficultés sans bloquer le projet.

Les deux critères forment un tandem : la certification prouve un niveau théorique et l’expérience atteste de la capacité à s’adapter à la réalité. Exigez dès lors des références concrètes, des cas de projets menés à bien.

 Les agences comme Protexys valorisent justement ce double critère pour sélectionner leurs freelances : un profil “multi-certifié” qui a déjà piloté des projets complexes aura plus de chances d’aboutir à un résultat satisfaisant chez vous.

 7. La crainte de perdre le contrôle : comment y remédier ?

L’une des objections majeures à l’externalisation de la gestion de projets reste la peur de “perdre la main” sur la conduite des opérations.

Or, confier la coordination à un consultant externe ne signifie pas abandonner la gouvernance de votre propre projet. Au contraire, un bon chef de projet freelance est un facilitateur, dont le rôle est de :

  1. Proposer un cadre de reporting :

    • Le consultant met en place des rituels de suivi (réunions hebdomadaires, jalons, tableaux de bord). Vous gardez ainsi une visibilité totale sur l’avancement, les éventuels écarts de planning ou de budget, les risques identifiés.
    • Cette transparence renforce la confiance : vous restez décisionnaire final pour les arbitrages cruciaux.
  2. Faire travailler vos équipes ensemble :

    • Le freelance ne se substitue pas à votre direction ou vos managers. Il anime les réunions, répartit les tâches, alerte sur les blocages… mais c’est toujours vous qui fixez la vision globale et les grandes priorités.
    • Dans un certain sens, il agit comme un “coach” pour la collaboration interne, faisant gagner en efficacité votre organisation.
  3. Remonter les alertes :

    • Si un risque apparaît (retard d’un fournisseur, performance insatisfaisante d’un collaborateur), le chef de projet vous en fait part rapidement, avec des propositions de solutions.
    • Vous êtes donc encore plus informé que si vous deviez vous-même gérer tous les détails opérationnels, souvent noyé sous la masse d’e-mails ou de micro-décisions.
  4. Respecter la culture d’entreprise :

    • Lors du briefing avec l’agence (ex. Protexys), vous définissez vos valeurs, vos méthodes, vos contraintes. Le consultant s’y adapte et évite d’imposer un modèle standardisé qui pourrait heurter la culture interne.

Ainsi, loin de vous déposséder, externaliser le pilotage des projets vous libère des tâches répétitives et chronophages.

 Vous gagnez du temps pour la vision stratégique, tout en bénéficiant d’un pilotage professionnel, cadencé, et réactif.

 Le projet évolue de façon plus structurée, et vous restez le maître des décisions finales.

8.Exemple concret d’une entreprise ayant externalisé sa gestion de projet

Imaginons une PME spécialisée dans le développement de solutions IoT (Internet of Things) pour l’industrie. Débordée par des demandes clients, elle doit développer en parallèle :

  • Un nouveau capteur intelligent pour la logistique,
  • Une application mobile pour le suivi des stocks en temps réel,
  • Une refonte de son infrastructure cloud.

Le dirigeant constate que ses équipes R&D sont compétentes sur le plan technique, mais qu’aucun manager ne dispose de la formation ou du temps pour orchestrer ces trois projets simultanément.

 Il contacte donc Protexys, qui lui propose un consultant freelance certifié Prince2 et ayant déjà mené plusieurs projets IoT.

  1. Mise en place rapide : En l’espace d’une semaine, le consultant arrive, prend connaissance des objectifs, rencontre les équipes techniques et définit un schéma de reporting.
  2. Définition des plannings et répartition des ressources : Chaque projet dispose d’un backlog de tâches, d’un planning macro (jalons) et d’un reporting hebdomadaire.
  3. Coordination et suivi : Le consultant anime des “points d’avancement” deux fois par semaine, alerte en cas de retard, propose des solutions (renfort en sous-traitance, réallocation d’un développeur).
  4. Résultats :
    • Les projets sont aboutis dans les délais fixés, malgré quelques imprévus.
    • Le dirigeant se dit “soulagé” de n’avoir pas dû mener lui-même cette coordination, ce qui lui a permis de se concentrer sur la prospection client et l’amélioration de l’offre commerciale.
    • Les équipes R&D apprécient la clarté et la sérénité apportées par un pilotage externe, plutôt que de subir des sollicitations incessantes.

Ce scénario illustre comment un chef de projet freelance, via une agence de mise en relation, peut apporter une valeur ajoutée immédiate.

L’entreprise évite un recrutement long, obtient une expertise confirmée, et voit ses projets critiques se conclure avec succès, tout en protégeant les ressources internes de la surcharge.

9. Les bonnes pratiques pour réussir son externalisation de projet

Une fois décidé à externaliser la gestion de projets, encore faut-il bien préparer cette collaboration. Plusieurs points-clés déterminent la réussite de la mission :

  1. Définir clairement la mission :

    • Rédigez un cahier des charges ou un document de cadrage décrivant le périmètre (objectifs, livrables, délais), les acteurs impliqués, et vos indicateurs de succès (qualité, budget, satisfaction client).
    • Plus vous serez précis, plus l’agence ou le freelance saura adapter sa méthode.
  2. Opter pour un freelance certifié :

    • Comme évoqué, privilégiez des chefs de projet disposant de certifications reconnues (Prince2, PMP, Agile/Scrum, etc.) et d’une expérience terrain.
    • Vérifiez leurs références pour être sûr de confier votre projet à un professionnel aguerri.
  3. Instaurer un système de reporting régulier :

    • Décidez dès le départ de la fréquence des réunions (ex. un point hebdomadaire), des tableaux de bord (avancement, risques, budget) et des canaux de communication (Teams, Slack, e-mails).
    • Cette transparence vous permet de garder le contrôle sans micro-manager.
  4. Protéger la confidentialité :

    • Si votre projet implique des données stratégiques, n’oubliez pas d’inclure dans le contrat une clause de confidentialité (NDA).
    • Accordez les accès nécessaires, mais en suivant le principe de moindre privilège (pas de partage global de vos serveurs).
  5. Privilégier un partenaire qui comprend votre culture :

    • Au-delà de la technique, la culture d’entreprise importe. Optez pour un consultant qui sait s’intégrer et respecter vos valeurs, votre mode de décision et vos enjeux relationnels internes.

En respectant ces bonnes pratiques, vous créez un cadre de travail propice à l’efficacité. Votre consultant se sent soutenu et légitime, et vous bénéficiez d’une visibilité totale.

De la définition précise de la mission jusqu’au suivi rigoureux du planning, l’externalisation de la gestion de projet se transforme alors en une collaboration fluide et productive.

10. L’importance de la conclusion d’un partenariat gagnant-gagnant

L’externalisation de la gestion de projets se révèle d’autant plus fructueuse lorsqu’on la conçoit comme un partenariat plutôt qu’une relation ponctuelle.

Il ne s’agit pas seulement de “recruter” un freelance pour un one-shot, mais de bâtir une collaboration dans la durée, de partager une vision commune du succès.

  1. Adaptation continue :

    • Les projets vivent, évoluent, voire pivotent. Un partenaire freelance ou une agence de mise en relation comme Protexys s’adapte à ces variations, pouvant mobiliser un deuxième chef de projet, remplacer un consultant surbooké, ou ajuster la charge horaire.
    • Cette flexibilité évite de se retrouver bloqué avec un contrat rigide ou un personnel interne sous-utilisé.
  2. Capitalisation sur l’expérience :

    • Quand un consultant externe a déjà piloté avec succès plusieurs projets pour vous, il connaît vos process, vos équipes, votre marché. Il monte en compétence sur vos spécificités et devient d’autant plus efficace sur les nouvelles missions.
    • Réciproquement, vous comprenez mieux sa méthodologie, ce qui fluidifie la communication.
  3. Transparence financière et alignement des objectifs :

    • Grâce à un mode de facturation clair (forfait mission, journalier, mensuel), les coûts sont prévisibles. Vous pouvez négocier un certain niveau de service (SLA) ou un tarif dégressif si vous externalisez plusieurs projets simultanément.
    • Au lieu d’une relation verticale (employeur vs. employé), vous nourrissez un échange d’expert à expert, où chacun contribue à la réussite du projet et partage une responsabilité commune.
  4. Sécuriser la relation :

    • Cela passe par la signature de contrats-cadres, d’accords de confidentialité, de chartes de qualité. Autant d’éléments qui soulignent votre volonté de travailler en confiance, sur le long terme, tout en assurant la protection de vos intérêts.

Bref, un partenariat durable avec un consultant en gestion de projets, ou via une agence comme Protexys, vous fait gagner en stabilité, en réactivité et en sérénité.

Chaque nouveau défi peut ainsi être abordé avec un renfort immédiatement disponible, habitué à vos méthodes, ce qui décuple les chances de réussite des projets.

Conclusion et perspectives

La gestion de projets est un axe vital pour toute entreprise cherchant à innover, à améliorer ses process ou à développer de nouveaux marchés.

Plutôt que de forcer son équipe interne à cumuler des rôles ou à s’épuiser dans un pilotage mal maîtrisé, externaliser cette fonction à un freelance spécialisé ou à une agence de mise en relation s’avère souvent la solution la plus agile et rentable.

Nous avons vu que :

  • L’internalisation a ses mérites (culture d’entreprise, pérennité des compétences), mais implique des coûts fixes élevés, un recrutement chronophage, et peut se révéler inadaptée si les projets sont ponctuels ou si les compétences manquent en interne.
  • L’externalisation apporte la flexibilité (moduler la durée, la charge de travail), un accès quasi instantané à des consultants expérimentés, et l’assurance de se concentrer sur son cœur de métier. Les retours terrain montrent que cela permet d’enchaîner des projets plus complexes ou plus nombreux, sans subir de retards ni de dérapages budgétaires.

Exemple concret : Protexys, grâce à son approche sur mesure, offre un vivier de chefs de projets certifiés (Prince2, Agile, PMI…) et expérimentés dans divers domaines.

Les dirigeants y trouvent une réponse rapide à leur besoin de pilotage, sans emprisonner leur trésorerie dans un contrat long et contraignant.

Les retours de clients satisfaits illustrent un partenariat gagnant-gagnant, où l’efficacité, la transparence et la qualité de reporting sont au rendez-vous.

Pour aller plus loin, l’entreprise peut envisager une collaboration pérenne avec un ou plusieurs freelances, ou faire régulièrement appel à l’agence lorsque de nouveaux projets émergent.

Cette dynamique permet de développer un “écosystème” de compétences pilotées par des experts, sans sacrifier l’ADN de l’entreprise ni son agilité.

Finalement, la question n’est plus de savoir “pourquoi externaliser la gestion de projets”, mais plutôt “comment en tirer le meilleur parti” pour maximiser sa croissance, libérer ses forces internes, et atteindre un niveau d’excellence opérationnelle.

FAQ

1. Est-ce risqué de confier des projets stratégiques à un consultant externe ?

Il est tout à fait possible de confier des projets cruciaux à un freelance si vous mettez en place un cadre clair : un contrat de confidentialité (NDA) pour protéger vos informations, un reporting régulier pour garder le contrôle, et une sélection rigoureuse du profil (références, certifications).

 Ainsi, vous limitez les risques et vous profitez de son expertise professionnelle.

2. Comment éviter de “perdre le contrôle” sur le pilotage ?

Le chef de projet externe n’est pas là pour “prendre la main” sur vos décisions stratégiques. Il anime, coordonne et remonte des alertes.

En définissant des points d’avancement hebdomadaires (ou plus fréquents), des tableaux de bord (KPI, jalons, risques) et un mode de décision clair, vous restez maître des choix tout en déléguant l’opérationnel.

3. Quel est l’intérêt d’une agence comme Protexys par rapport à un freelance en direct ?

Protexys agit comme un facilitateur :

  • Elle possède un réseau de freelances qualifiés et référencés ;
  • Elle assure un matching rapide selon la nature de votre projet ;
  • Elle propose un Account Manager pour le suivi, la continuité du service (remplacement si besoin) et le respect des bonnes pratiques en matière de confidentialité ou de méthodes de pilotage.
    C’est donc plus sécurisé, plus fiable, et plus simple pour l’entreprise.

4. Combien coûte l’externalisation de la gestion de projet ?

Cela dépend de la complexité du projet, de la durée de la mission et du niveau d’expertise requis. Les freelances facturent souvent à la journée, avec un TJM (taux journalier moyen) variable selon la spécialisation (tech, IT, RH, etc.).

 Toutefois, vous gagnez en flexibilité (pas de charges fixes, pas de long recrutement) et en rapidité de mise en place.

5. Quelles certifications ou compétences vérifier chez un chef de projet ?

Les référentiels reconnus incluent Prince2, PMP (Project Management Professional) du PMI, Agile/Scrum Master, et éventuellement des certifications sectorielles (ITIL pour l’IT, Lean Six Sigma…).

Vérifiez aussi les références professionnelles (projets menés, résultats obtenus) et la capacité à travailler en mode collaboratif.

6. Est-ce adapté aux PME ou seulement aux grandes entreprises ?

La gestion de projets externalisée est particulièrement adaptée aux PME et start-up qui n’ont pas toujours les ressources internes ou la capacité de recruter un chef de projet à plein temps.

Les grandes entreprises y trouvent aussi leur intérêt pour absorber des pics d’activité, tester de nouvelles méthodes (Agile, DevOps), ou lancer un projet innovant sans mobiliser un cadre interne.